12 septembre 2005
Ce matin pas comme les autres
Rêveur trop sensible,
retirer dans sa propre tannière,
incapable de montrer à certaines yeux globuleux,
l'océan cacher au plus profond de son ventre.
Préférant le long silence aux paroles en boucles,
j'entre lentement dans l'ère du partage.
Ont ne décide pas ce que l'ont écrits,
le long processus qui mène à la mise en mots,
est un travail de chaque seguonde que la vie alimente,
de ses tourments passionels et éternel.
Je ne revendique pas le statut de poète,
je préfère le mot oxygène cela explique bien mieux pourquoi j'écris.